A priori tout va bien. Quand un enfant exilé arrive en Belgique, il peut retrouver le chemin de l’école. Mais que se passe-t-il pour ceux qui n’ont jamais été scolarisés? Il manque une étape. En 2015, deux institutrices ont créé la Petite École avant la grande, l’officielle. Avec des bénévoles, de l’engagement, des dons privés. Aujourd’hui, les pouvoirs publics ont pris le relais. Mais la Petite École reste une expérience unique. À essaimer.
Dans ce numéro
L’école qui desserre les corps et les esprits
La Petite École ? Celle juste avant la “grande”, comme on dit dans cet incomparable lieu qui a pignon sur rue. La grande école ? La vraie, celle où, une fois bien dans leurs pompes, les quelques 130 enfants passés par la première foulent ses sentiers.
Par Yves-Marie Vilain-Lepage
S’adapter aux enfants
Nathalie est institutrice primaire en pédagogie active. Arrivée lors d’une journée porte ouverte de la Petite École, elle n’est jamais repartie. Après deux années de travail à mi-temps, elle s’active aujourd’hui comme bénévole.
Par Vincent de Lannoy
Il faudrait d’autres Petites Écoles
En Fédération Wallonie-Bruxelles, la Petite École est l’unique dispositif pédagogique qui propose aux enfants une étape transitoire sur le chemin de la scolarité.
Par Vincent de Lannoy
Source : CIRÉ asbl
Vous devez être connecté pour poster un commentaire.